Le film (réalisé en 1987) par Peter Fischli et David Weiss a fait des petits :
ce n’est pas très bien éclairé, pas très bien filmé, mais selon le célèbre principe ‘action-réaction’ ça fait passer un bon quart d’heure aux zygomatiques.
Une page utile et plutôt bien faite pour comparer la taille des écrans.
L’intérieur d’une tumba est un bien curieux endroit.
Madhabi Mukherjee dans le film Mahanagar (La Grande Ville) de Satyajit Ray.
Je ne sais pas si le cheval est cette Fanny dont mon père nous parlait souvent comme d’un être cher et choyé.
De quand date cette photo de Sepp au milieu du village (devant l’abreuvoir – visible à gauche) ? Si elle est de la fin des années 30, il est âgé de 28 ans tout au plus. D’ailleurs apparemment les maisons ne sont pas endommagées par la guerre.
Je suis intrigué pourtant par la position et la taille des deux maisons à droite, derrière lesquelles émerge le clocher. Il existe de cet endroit d’autres photos anciennes, dont je suis sûr qu’elles sont antérieures à 1939, sur lesquelles d’autres maisons, absentes ici, encombrent le centre et barrent l’horizon.
J’ai toujours pensé que l’espace assez vaste resté vacant au milieu du village et qui lui conférait des allures de modernité, datait d’après la guerre. Or si cette photo date d’avant 1939, ces maisons disposées selon un plan plus ancien et plus dense n’y sont déjà plus.
Enfant j’étais souvent frappé par le caractère archaïque du centre de plusieurs villages voisins, sans doute moins endommagés par les bombardements, et dont les ruelles sont restées étroites et tortueuses jusqu’à aujourd’hui.
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Il y a quelques semaines j’ai passé deux jours à Paris pour le travail, avec mon collègue Carlo.
L’un des rares endroits de Paris que j’aie vraiment envie de montrer est Notre-Dame, plutôt l’arrière d’ailleurs que l’avant.
Je garde dans mes vieux papiers cette image de Notre-Dame qui doit dater des débuts de la photographie. Le haut n’a presque pas changé. Ce qui me fascine est la sensation de dépaysement intense que procure … Read more »
C’est fou tout ce qu’on peut trouver sur les autoroutes d’Europe…
Soleil couchant de septembre sur des ruches multicolores au bord de la lande fleurie de Maasmechelen, à contempler en écoutant Fandango, une pièce étonnante (peut-être) d’Antonio Soler, remarquablement bien interprétée par Elisabeth Chojnacka
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Il y a des abeilles dans cette musique.
Cet été la plage de Pampelonne a accueilli une curieuse exposition d’oeuvres d’artistes indiens.
L’une d’entre elles réunit un Ganesh en habits occidentaux, géant mais très maigre, alors que le dieu à tête d’éléphant est toujours représenté petit et replet, et un rouet lequel dans mon esprit a évoqué instantanément l’image de Gandhi.
Cela me fournit l’occasion de me souvenir que je reste très fier d’avoir un jour construit un rouet avec l’aide de Nicolas, Joseph et René, d’avoir appris à filer la laine avec Caro, et d’en avoir filé quelques pelotes.
La sanza, pour moi jusqu’ici c’était cet épatant petit instrument africain, dont on joue avec les pouces, connu aussi sous le nom de likembe, mbila ou mbira, karimba ou kalimba.
Quand on sait y faire, il en sort de la bien belle musique.
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