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Ganesh Ramchandra Behrebuva

Né en 1890 et mort en 1965, Ganesh Ramchandra Behrebuva a bénéficié de l’enseignement d’Abdul Karim Khan, de Ramkrishna Vajhe Buva, de Bhashkar Buva et de Rajab Ali.

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Guru Nanak, le fondateur de la religion des Sikhs, et son ami et accompagnateur Mardana, de la caste des Mirasi, bardes professionnels musulmans chargés de transmettre les généalogies et les chansons. Cette tradition a perduré jusqu’ à la partition de l’Inde. Un de ses derniers représentants fut Bhai Lal Muhammad Rababi, mort à Lahore en 1962, célébré comme « Sangit Sagar« , c’est-à-dire Océan de la Musique. Son premier fils, mort prématurément, et connu sous le nom de « Fakir Miyan« , était un grand chanteur. Son second fils, Bhai Shagan Lal , encore en vie, est connu sous le nom de Ghulam Hussain Shagan.
(d’après Gita Paintal, Panjab ki sangi parampara, N.Dilli 1988, communiqué par Kurt F.)

Voir aussi The Rababi Tradition & Bhai Mardana

Il y a quelques mois, j’écrivais ici qu’il faudrait transcrire d’autres passages de l’entretien de Luc Dardenne (sur France Inter avec Frédéric Bonnaud) à l’occasion de la parution de son livre Au dos de nos images.
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« Better Git It In Your Soul » – première plage de l’album Mingus Ah Um (1959) sur lequel joue entre autres le saxophoniste John Handy.   Celui-ci fera plus tard avec Ali Akbar Khan et L. Subramaniam quelques enregistrements sensiblement plus intéressants que les fruits incertains de la quasi totalité des rencontres entre musiciens occidentaux et indiens, exception faite de Charlie Mariano et de John MacLaughlin.
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Les gens compétents sont ceux qui se trompent selon les règles.

Paul Valéry

Entendu Dhruba Ghosh sur France-Culture ce soir.
Acrobatique rapprochement entre Joyous Pain, recueil de poèmes (écrits par Dhruba il y a plus de dix ans) et… Georges Bataille.

What they thought was deliverance
was actually letting me out into another womb
Dhruba Ghosh

Cela m’a fait penser entre autres à une photo prise au Musée Guimet en 2002, d’une étonnante sculpture monumentale intitulée Trois Âges (ou quelque chose de ce genre), qui donne à voir trois femmes, des déesses, d’âge différent, ce qui m’avait beaucoup impressionné :

Merci Dhruba d’avoir rappelé que la musique indienne s’accommodait très bien de l’athéisme et inversement.

Depuis quelques années, j’ai au printemps la nostalgie forte et éphèmère de mon appareil photo numérique Nikon. A cause de quelques photos de fleurs faites en 2002, quand l’appareil était neuf.

Le bonheur des transcriptions : Passacaille en do mineur BWV582
écrite par J.-S. Bach pour orgue et transcrite pour piano par Eugen d’Albert, interprétée par Angela Hewitt

Bosch n’est sans doute pas l’inventeur du « collage » mais il reste inégalable, inépuisable.
Je viens de tomber sur le site d’un atelier, établi dans sa ville natale (‘s Hertogenbosch), qui propose des figurines (un peu façon mère à Titi mais néanmoins fascinantes) de certains personnages marquants du Jardin des Délices (panneau de droite) ou de la Tentation des Tentations de Saint-Antoine. Dans le commentaire qu’il donne pour ce personnage, le site évoque les visions de Tondal. :

Pour une raison que j’ignore ces images n’apparaissent pas avec Firefox.
La syntaxe du lien est apparemment correcte :
img src= »http://www.3d-mouseion.com/images/jb/jb13.jpg »

Des images assez détaillées de tableaux de Bosch se trouvent ici.