Pondre

Posté dans MOTS par kerbacho - Date : juin 25th, 2005

çuila qui fait les oeufs

J’ai trouvé cette image sur Internet il y a très longtemps. C’est une des premières illustrations que j’ai téléchargées. Si ma mémoire est bonne je travaillais encore à Aachen à l’époque. Ce qui ne fait pas loin de dix ans. Je crois que c’était à propos des possibilités de rotation de texte sous Postscript. J’ai cherché un peu avec Google ce soir dans l’espoir de la retrouver dans son contexte sur un site. En vain.

Continuer de vivre aujourd’hui avec ce Dieu mort

Posté dans divers par kerbacho - Date : juin 25th, 2005

Dieu est mort, comment faire sans lui ?
Dieu est une invention extraordinaire.
Sans doute une des plus grandes inventions, qui a permis d’éloigner le meurtre.
De considérer un être humain comme un autre à respecter.(…)
On était en train de se manger. (…) Il a fallu à un moment donné jeter quelque chose très loin. (…)
C’est une pierre qu’on a jeté très loin, Dieu. (…)
L’histoire a modifié les choses et cette fiction que fut Dieu s’est éteinte. (…)
On continue de vivre aujourd’hui avec ce Dieu mort, et parce que mort nous autorisant à tout.
Il faut qu’on retrouve nous-mêmes des repères pour une vie sans lui. (…)
La rédemption est humaine, y a pas besoin de Dieu.

Luc Dardenne
Entendu par hasard à la radio le 14 juin 2005 (Charivari, France Inter) dans la voiture en allant chercher Caro à la gare de Genk.
Touché dès le début par ses paroles, j’ai une impression (très forte) de familiarité avec ses idées. Avec notamment son exigence de concentration. Il parle de ses personnages comme de personnes réelles.
Puis, au fur et à mesure de l’entretien, je découvre que la résonance est encore bien plus profonde.
Il faudrait transcrire d’autres passages excellents de cet entretien réécouté sur le réseau des radios francophones

Tondre

Posté dans divers par kerbacho - Date : juin 25th, 2005

L'épaule de Max et la main de René

Max et René à As – été 2001 (sauf erreur)

Je n’ai jamais compris comment on peut, sans frémir, confier ses cheveux à un coiffeur, c’est-à-dire à un étranger que l’on remunère pour ça. J’ai dû aller chez le coiffeur moins de dix fois dans ma vie. Quelques fois vers l’âge de treize ou quatorze ans, quand j’ai refusé que mon père continue de me couper les cheveux comme il l’avait toujours fait et comme il continuait de le faire pour son frère Auguste, son neveu Arsène, son beau-père Nicolas et son fils René. Cela n’a pas duré longtemps car très vite les garçons se sont laissé pousser les cheveux.
Puis une ou deux fois à Strasbourg. C’était Léon D. qui m’avait recommandé un coiffeur, le dernier.

Coller

Posté dans divers par kerbacho - Date : juin 25th, 2005

Collage - DM

Collage – 1994 – DM