Tondre

L'épaule de Max et la main de René

Max et René à As – été 2001 (sauf erreur)

Je n’ai jamais compris comment on peut, sans frémir, confier ses cheveux à un coiffeur, c’est-à-dire à un étranger que l’on remunère pour ça. J’ai dû aller chez le coiffeur moins de dix fois dans ma vie. Quelques fois vers l’âge de treize ou quatorze ans, quand j’ai refusé que mon père continue de me couper les cheveux comme il l’avait toujours fait et comme il continuait de le faire pour son frère Auguste, son neveu Arsène, son beau-père Nicolas et son fils René. Cela n’a pas duré longtemps car très vite les garçons se sont laissé pousser les cheveux.
Puis une ou deux fois à Strasbourg. C’était Léon D. qui m’avait recommandé un coiffeur, le dernier.

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