Rasoolan Bai

Posté dans divers par kerbacho - Date : juin 17th, 2005

Rasoolan Bai

Rasoolan Bai, vocal
– date inconnue

Concert de Kushal Das et Tejendra Majumdar, octobre 2001

Posté dans divers par kerbacho - Date : juin 17th, 2005

Affichette du concert de Kushal Das et Tejendra Majumdar à la Tentation en octobre 2001

Kushal Das, sitar – Tejendra Majumdar, sarod – Samar Saha, tabla
Affichette réalisée pour le concert à La Tentation, Bruxelles, 31 octobre 2001

Concert de Sandipan Samajpati, octobre 2001

Posté dans divers par kerbacho - Date : juin 17th, 2005

Affichette du concert de Sandipan Samajpati à la Tentation en octobre 2001

Sandipan Samajpati, chant – Amit Mukherjee, tabla
Affichette réalisée pour le concert à La Tentation, Bruxelles, 10 octobre 2001

Concert de Kushal Das, novembre 2000

Posté dans divers par kerbacho - Date : juin 17th, 2005

Le premier concert que j'ai organisé en novembre 2000

Kushal Das, sitar – Abhijit Banerjee, tabla – Sudipta Remy, tanpura
Affichette du concert de Kushal Das, Healthy Forum, Bruxelles, novembre 2000

Infinitif

Posté dans divers par kerbacho - Date : juin 17th, 2005

Les mots de la grammaire du français sont curieusement abstraits.
Pourquoi appelle-t-on infinitif le mode du verbe au repos , ce mode dans lequel le verbe est le moins verbe et le plus nom. D’ailleurs le Robert dit que l’infinitif est la forme nominale du verbe exprimant l’idée de l’action ou de l’état, sans indication de personne ni de temps.
« Infinitif « ? Un mot qui n’est utilisé pour rien d’autre, que l’on ne peut rattacher qu’à ‘infini’ ?

[] faire
[] laisser faire
[] aimer laisser faire
[] oser aimer laisser faire
[] prétendre oser aimer laisser faire []

Informer

Posté dans divers par kerbacho - Date : juin 17th, 2005

Pourquoi est-il si difficile d’informer par écrit ?
Tentative d’explication parabolique.
L’auteur, celui qui écrit, est détenteur de l’information.
En face de lui, le lecteur est en quête d’information.
Entre les deux, l’information elle-même, sous forme de texte écrit. Ce texte-ci par exemple.
Imaginons-les sous la forme de trois blocs, parfaitement alignés : le lecteur, l’auteur et entre eux l’information.
L’information cache donc l’auteur au lecteur, et inversement.
L’auteur voit l’information mais ne voit pas le lecteur.
L’auteur réalise-t-il que le lecteur ne voit de l’information que la face que lui-même ne voit pas ?

L’auteur montre l’information du doigt, mais le lecteur ne voit pas ce qu’il montre.

Mallikarjun Malhar

Posté dans HINDOUSTAN, REGARDER par kerbacho - Date : juin 17th, 2005

Mallikarjun Mansur

Mallikarjun Mansur – date inconnue

Michel Portal

Posté dans divers par kerbacho - Date : juin 17th, 2005

Michel Portal.

Michel Portal - Sint-Truiden, 10 mars 2005

Regarder

Posté dans divers par kerbacho - Date : juin 17th, 2005

Je ne suis pas tout à fait sûr que cette photo est d'August Sander. Je ne sais plus où je l'ai trouvée.

Je crois que cette photo est signée August Sander.

Je ne me souviens plus de son origine. Elle m’a bouleversé.
Comme m’avait bouleversé ma première rencontre avec Sander, il y a quelques années, dans la librairie du Grand Hornu.
Une rencontre ‘idéale’ : je ne savais rien de Sander. Pas de préjugé par conséquent, ni favorable ni défavorable. Une rencontre choc, inoubliable.

Chanter

Posté dans divers par kerbacho - Date : juin 17th, 2005

Le chanteur ne s'accompagne pas au sarangi. Le sarangi n'accompagne pas le chanteur. A quoi bon ?

Dhruba Ghosh, sarangi & chant – Yogesh Samsi, tabla - Bruxelles, Espace Senghor, 3 juin 2005

Pourquoi les instrumentistes se mettent-ils à chanter en concert ? Qui a commencé ? Vilayat Khan peut-être, il y a fort longtemps ? J’aimerais obtenir des informations sur la naissance de ce courant.
En tout cas, à Bruxelles le mois dernier c’était Amjad Ali Khan qui chantait à la Monnaie, ce mois-ci Dhruba Ghosh à l’Espace Senghor.
Dhruba, que j’ai entendu assez souvent depuis une dizaine d’années (10 ans déjà?) a chanté à bon nombre de ses concerts. Ce qui au début n’était qu’une brève illustration du caractère intrinsèquement vocal de la musique classique indienne même instrumentale, a pris des dimensions qui me laissent perplexe. Ainsi Dhruba a-t-il plus chanté que joué durant la seconde partie de son concert !
Je vois une impasse et une contradiction dans le fait que quand il chante, le sarangiya ne joue plus mais se contente de gratter ses cordes comme le font certains chanteurs ou chanteuses avec leur svaramandala.

Ah ! Connaitrons-nous un jour un joueur de sarangi capable de s’accompagner au chant !

Lors de presque chacun de ses concerts, Dhruba sort de son chapeau des choses pour moi inouies. Cette fois-ci encore j’ai eu la chair de poule (littéralement) en attendant tout un passage joué en harmoniques sur la corde grave. Ordinairement ces flageolets se produisent un peu par accident sur le sarangi. En musique indienne je n’avais jusqu’à ce jour jamais entendu d’usage systématique de cette technique des harmoniques. Les violonistes indiens ne l’utilisent pas non plus.
Un passage sublime passé sans doute à peu près inaperçu chez la plupart des auditeurs. J’ai hâte de réécouter mon enregistrement pour me remettre ce passage en mémoire.