Merci, Max Al Rus Eïov

Max Vador Mir - photo Vincent Meyer

Maxime Meyer dans le train pour Montréjeau
(Toulouse, 2005, photo Vincent Meyer)

Ma culture starvarienne est encore fragile, mais graisse à Max je n’ai plus vingt ans de retard.
En une heure de Skype et à grand renfort de liens il m’a fait découvrer cet après-midi une horde de personnages qui meuplent désormais l’espace intergalactoque entre Toulouse et As.
Je sais maintenant reconnaître le Jet d’Ail, la Babane Molle, les Pas d’Avoine et même JoséRael (celui-là j’ai tout de suite vu que c’était le cousin de José Bové). Je sais aussi que c’est le troisième épisode que Max préfère, mais qu’on l’appelle le 6 et qu’il faut donc compter 4, 5, 6, 1, 2, 3. Il me reste beaucoup à apprendre et je compte évidemment sur Max Al Rus Eïov pour me guider.

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