Jules Gréco (Métabolisme basal…)
Je ne suis certainement pas Dieu le père, mais puisque le grand fouillis googlesque a dû attendre ma modeste initiative pour que soit révélée enfin à la face du monde la beauté confondante de la poésie de Jules Gréco, je n’aurai pas perdu ma journée. Voici, à la demande expresse mais légitime de quintat l’africain :
Jules Gréco (et quelques autres)
Que celui ou celle qui aura la patience de transcrire ce chef-d’oeuvre encore à l’état oral veuille bien me le transmettre, je le mettrai en ligne.
Tags: poésie
mai 31st, 2008 at 7:50
Oh joie inefable, lh boulversante révélation, voici que mon crie dans le desert se transforme en chant de louange et me vola exaucé. Qu_e le grand caribou veille sur vous !
Amitiés