Ich habe den Frühling
En d’autres termes, ma jeunesse fout le camp…
Clip audio : Le lecteur Adobe Flash (version 9 ou plus) est nécessaire pour la lecture de ce clip audio. Téléchargez la dernière version ici. Vous devez aussi avoir JavaScript activé dans votre navigateur.
août 31st, 2006 at 9:45
La traduction automatique de http://babelfish.altavista.com/tr, propose en français :
« j’ai le printemps » pour Ich habe den Frühling.
Malheureusement je ne peut corriger cette approximation.
Je trouve que cette écriture ressemble à cellle de ta mère, Mathilde. Est-ce cela ?
août 31st, 2006 at 11:00
Oui, c’est le texte d’une chanson populaire noté par Mathilde, sans doute à la demande de mon père.
Dans les années 80, Sepp s’était remis à chanter avec assiduité.
Il s’était remémoré une partie de son répertoire ancien, négligé pendant deux ou trois décennies par manque de pratique. Comme sa mémoire de septagénaire le trahissait, et il avait demandé à ma mère de noter les paroles de certaines chansons.
Pour moi c’est plaisant à plusieurs titres :
- d’abord parce que cette écriture ***est*** http://www.tarana.be/sarod/wp-images/MathildePensiveN&B.jpg','—','scrollbars=no,toolbar=no,top=0,left=0‘);return false; » rel= »nofollow »>Mathilde,
- ensuite parce que cet échantillon est symbolique de la complicité et de la complémentarité de mes parents, notamment pour cette frivolité et cette gaieté propres au tempérament de http://www.tarana.be/sarod/wp-images/Sepp_piano_02.jpg','Sepp','scrollbars=no,toolbar=no,top=0,left=0,resizable=yes);return false; » rel= »nofollow »>Sepp et de ses innombrables chansons, ambiance légère dans laquelle Mathilde se laissait volontiers entraîner par lui, sans jamais perdre la tête pour autant ;
- puis en raison de l’étrangeté d’un tel texte sous la plume de ma mère, elle n’était pas du genre à noter pour elle-même le texte d’une bluette ; c’est donc par solidarité avec mon père et pour l’aider à pérenniser son répertoire (j’en ai pas mal d’autres exemples, c’était loin d’être exceptionnel) ;
- parce que ce texte ressemble un peu au joli texte de Clément Marot que récitait Grand-Papa et récite encore Gilberte
- parce qu’il évoque aussi les textes chantés par les Indiens et les Pakistanais, les « babul mora » et autre « divana banana » en tous genres.
Je le traduirai bientôt.
septembre 13th, 2006 at 10:24
J’ai vu le printemps
et j’ai cueilli les roses
écouté le chant des rossignols
et embrassé une fille cordiale
L’aimable printemps s’est évanoui
les rossignols ne chantent plus
ma mie est descendue au tombeau
et tout est fini
O père céleste là haut
tu m’as ravi ma mie
des filles il y en a tant
mais pas d’aussi aimable ni d’aussi fidèle