France Culture
Ecouter France Culture, pour moi, c’est comme de mettre un suppositoire.
Je sais que ce sera sans doute efficace, mais ce n’est pas agréable
Ecouter France Culture, pour moi, c’est comme de mettre un suppositoire.
Je sais que ce sera sans doute efficace, mais ce n’est pas agréable
février 14th, 2007 at 2:07
ah dans ce cas, gare aux placebos qui trainent sur leur grille
février 22nd, 2007 at 11:56
Il n’y a pas de point à la fin de ta seconde phrase, est-elle terminée ?
En fait il me semble qu’il manque le contexte, car la critique par la généralisation n’est rarement très habile.
Est-ce si désagréable que cela un suppositoire ? allé allé un petit effort.
Pour ma part, mon dernier suppositoire doit bien remonter à une bonne dixaine d’année donc c’est loin, mais par contre j’écoute journalièrement FC que je ne trouve pas si désagréable que cela.
Comme ailleurs il y a du bon par ex. A VOIX NUE que j’écoute en écrivant ces lignes, et du moins bon par ex. la MESSE du dimanche matin à 10:00 qui a quand même comme bonne conséquence de me faire toujours écouter un bon vieux Cd.
;->
février 23rd, 2007 at 12:49
Oui cette phrase est terminée malgré l’absence de point.
Ce n’est pas une critique, mais l’expression d’un sentiment.
Autrefois, avant de quitter la France, j’ai pas mal écouté FC. Puis cette radio m’a beaucoup manqué pendant vingt ans. J’ai longtemps envisagé d’acheter une antenne parabolique pour pouvoir capter Hector qui diffuse FC et FM par satellite. Aujourd’hui je pourrais l’écouter en ligne, mais le charme n’opère plus de la même manière.
Ma phrase inachevée est comme mon écoute de cette chaîne… Il est assez rare que j’arrive au bout d’une émission de France Culture, que je n’écoute d’ailleurs le plus souvent qu’en différé des mois voire des années après la diffusion, grâce des enregistrements qui me viennent en grande partie de toi — merci !
Quand j’aurai un peu plus de temps je chercherai à comprendre l’effet ‘suppositoire’, pour l’instant je me contente de le constater. D’ailleurs cette comparaison saugrenue m’est venue au cours d’une conversation avec ton père.
Je l’ai notée sans trop réfléchir. Je la maintiens.