Tags: kabir
This entry was posted on Vendredi, décembre 10th, 2010 at 11:43 and is filed under ÉCOUTER, HINDOUSTAN, REGARDER.
You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed.
You can leave a response, or trackback from your own site.
décembre 13th, 2010 at 3:57
Rarement je trouve au sein d’un même documentaire quelque chose qui rencontre un questionnement personnel, sociétal, des souvenirs et sensations qui les accompagnent,… Merci!
Ca donne bien envie de découvrir plus ce poète qui est ici présenté un peu comme le « pendant » d’Ambedkar, mais bien des siècles avant… c’est quand même fascinant que sa poésie soit encore transmise aujourd’hui de cette manière, et alarmant aussi qu’elle soit encore à ce point nécessaire ( et peut-être plus que jamais?)
Je ne sais pas encore pourquoi mais tout ceci me refait penser au magnifique travail documentaire de Jorge Leon ( et particulièrement à « Vous êtes ici » et le documentaire précédent à celui-ci mais dont j’ai oublié le titre)
décembre 13th, 2010 at 11:15
Troublante conjonction en effet. Je me réjouis que ça vous plaise.
Le caustique Kabir aurait sans doute apprécié votre remarque sur le fait que sa poésie soit encore à ce point nécessaire aujourd’hui.
Mais pourquoi ne le serait-elle pas ?
Je serais bien étonné que dans ces innombrables textes attribués à Kabir, il n’y en ait pas un au moins dans lequel est tournée en dérision l’idée même de progrès si chère à l’Occidental, et d’accumulation ou de transmission de connaissances.
Le temps lui-même n’est-il pas une illusion?
S’agit-il du documentaire précédent de Shabnam Virmani ?
Je ne connais pas Jorge Leon. Pas encore.
décembre 18th, 2010 at 3:16
Le film m’a fort intéressé, moi aussi. Impressionné aussi par ce brahman, dans je ne sais quel ashram, qui posait avec insistance des questions indiscrètes à ce professeur américain, de manière à pouvoir la « loger »… Brrr !…
Quant au chanteur lui-même, n’a-t-on pas un peu l’impression qu’il ne connaît qu’un seul raga ? Est-ce lié à lui, ou au genre ? (Je me demande bien si c’était ordinairement le cas, par exemple, lorsque les aèdes de l’antiquité grecque chantaient Homère… Je n’en serais pas surpris…) Vos avis m’intéressent. En tout cas, grand merci pour la mise en ligne de ce document.