Revivre en ligne le concert de Sanjay Subrahmanyan à Bruxelles


Sanjay Subrahmanyan et Neyveli B.Venkatesh dédicacent des CD après leur concert au Théâtre de la Ville à Paris.
Au fond on distingue le profil (surexposé) de S.Varadarajan

Grâce à la persévérance de Béa D., l’organisatrice du concert donné par ces artistes quelques jours auparavant à Bruxelles, ainsi qu’aux bons soins de Paul-Jean V. qui en a fait et monté l’enregistrement, il est possible de revivre intégralement ce concert bruxellois dans des conditions satisfaisantes, en quatre séquences vidéo de bonne qualité. Pour se mettre et surtout pour rester dans l’ambiance, il vaut mieux disposer d’une plage de temps d’une heure ou deux. Comme j’ai assisté au concert moi-même, j’ignore si l’on peut en retrouver la magie avec la seule vidéo, mais je crois que ça vaut la peine d’y consacrer un peu de temps.

Sanjay Subrahmanyan | concert in Brussels | May 2009 | 1


1. Varnam – Ragam Kanada – kanda jathi ata thalam
2. Ragam Pantuvarali – rupaka thalam
3. Ragam Kambodji (continued on part 2)

Penser à passer en mode plein écran, car la résolution vidéo le permet, en cliquant sur le pictogramme fait de quatre flèches à gauche du logo vimeo.

Sanjay Subrahmanyan | concert in Brussels | May 2009 | 2

1. Ragam Kambodji (started on part 1)
2. Ragam Nalinakanti – adi thalam

Sanjay Subrahmanyan | concert in Brussels | May 2009 | 3

RTP – ragam Bageshree (continued on part 4):
alapam

Sanjay Subrahmanyan | concert in Brussels | May 2009 | 4

1. RTP – ragam Bageshree: tanam & pallavi
2. Ragam Behag –
3. Nijaga Dasa Yadunandane – ragam Sindhu Bhairavi – adi thalam

2 Responses to “Revivre en ligne le concert de Sanjay Subrahmanyan à Bruxelles”

  1. blessed écrit :

    Non la magie ne peut résider dans une trace vidéo ou du moins je l’espère.
    L’intérêt des traces est juste de donner la possibilité de se remémorer ou d’imaginer ou de donner goût.
    Mais surtout de rester curieux , conscient que l’art ne se partage entre artistes et « spectateurs » que lorsque ceux-ci se retrouvent dans un temps et un espace commun marqués par ce qu’on nomme « présence ».
    Que dans le monde où nous vivons, ces moments sont des privilèges à cultiver absolument!

  2. kerbacho écrit :

    Je suis assez tenté de penser le contraire. Mon premier contact avec Sanjay a été une vidéo format timbre-poste (encore plus petit que YouTube qui a cette époque n’existait d’ailleurs pas) sur le site de la ITC-SRA de Calcutta. Je ne connaissais rien de lui et j’ai été touché immédiatement par la force et l’originalité de sa musique. Je l’ai vu en concert plusieurs fois depuis, dans de bonnes conditions, mais la magie de cette découverte par vidéo interposée reste entière. Il n’en existe même plus de trace malheureusement, car elle n’est plus sur leur site. Peut-être que je l’ai copiée et gravée sur un CD, je ne sais plus.

    La plupart des grands musiciens que je « connais », je ne les ai jamais entendus que sur des enregistrements souvent pourris, pour la bonne et simple et raison qu’ils étaient déjà morts quand j’ai commencé à écouter de la musique. La magie, n’est-ce pas justement le fait que quand la musique d’un enregistrement est bonne, elle le reste même si l’enregistrement lui-même est mauvais, et, pour une oreille attentive, elle le reste jusqu’à la destruction quasi totale de la qualité de la restitution.
    Ceci dit, je suis évidemment pour les concerts en chair et en os, bien entendu, même quand s’ils ne sont pas forcément bons. :-)

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