Danse Odissi à Bruxelles le 11 septembre

Par Madhavi Mudgal et sa nombreuse troupe de 13 danseuses :
Madhavi Mudgal, chorégraphie, danse – Arushi Mudgal, danse – Sudha Mukhopadhayay, danse – Diya Sen, danse – Sanchita Bhattacharya, danse – Snehasini Sahoo, danse – Mitali Gupta, danse – Tanaya Devi, danse – Shamayita Das, danse – Shobba Bisht, danse – Prerna Agarwal, danse – Shalakha Rai, danse – Manisha Haldar, danse – Nidhi Arora, danse – Madhup Mugdal, musique.

Pour la petite histoire, je crois que Sanchita Bhattacharya est (ou a été) Madame Tarun B.

Extrait d’un entretien:
« You trained in Bharatanatyam and Kathak before taking up Odissi as your preferred medium. What influenced this decision?
The lyricism and subtlety of the form attracted me. As a child, when I was introduced to dance, only Bharatanatyam and Kathak were available as classical styles. Later, in my teens, the language barrier with Bharatanatyam and the showmanship of Kathak made me switch to Odissi. »

La vidéo de démonstration du site de Bozar ne donne pas spécialement envie de se déplacer. C’est pourquoi je ne la reproduis pas ici. On dirait qu’il s’agit d’un projet chorégraphique qui se prend les pieds dans sa propre ambition (15 danseuses !), mais ce trop bref échantillon ne permet pas de former un jugement.

A propos de jugement, je me suis souvent livré à une redoutable épreuve qui consiste à regarder une chorégraphie, peu importe le genre, sans le son. C’est cruel parce que ça ne pardonne rien.  Mais quel enchantement quand la danse est parfaite au point de pouvoir se passer de musique !

2 Responses to “Danse Odissi à Bruxelles le 11 septembre”

  1. blessed écrit :

    Je craignais le pire en voyant la vidéo sur youtube. Je craignais le « folkore exotique » auquel peut amener ce genre de spectacle. Je craignais le pire en apprenant que ce spectacle se passerait dans l’immense salle Henri Le Boeuf. Je craignais d’autant plus que j’étais installée dans l’une des niches (c’est à dire assez loin pour percevoir les détails de la gestuelle particulièrement pour tout ce qui concerne l’abhinaya).
    Et, malgré une sonorisation parfois vraiment trop élevée en volume, ce fut un pur bonheur. Un réel enchantement, et d’autant plus que la niche permettait de voir parfaitement les dessins, lignes et courbes tracés dans l’espace.
    Madhavi Mugdal est une grande dame!

  2. kerbacho écrit :

    Ravi de lire ça. Tant mieux !

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